L’indice mondial de la santé des femmes de Hologic exploite la puissance des données pour promouvoir la santé des femmes

Les femmes en bonne santé sont la pierre angulaire des familles, des communautés et des économies. Pourtant le genre reste un facteur déterminant de l’état de santé, et cette inégalité a été trop longtemps négligée¹.

Jusqu’à présent, les progrès ont été entravés par un manque de données globales en ce qui concerne l’état de santé des femmes, ce qui constitue un obstacle à tout changement significatif. Mais alors que nous nous remettons des aspects les plus difficiles de la pandémie de la Covid-19, nous avons la chance de pouvoir combler ce manque de données et de nous attaquer aux causes des inégalités en matière de santé auxquelles les femmes et les jeunes filles sont confrontées. 

En tant que spécialiste de la détection précoce, du diagnostic et du traitement des problèmes de santé des femmes, la société Hologic est bien déterminée à relever ce défi. En partenariat avec Gallup, une entreprise leader en analyses et conseils, nous avons créé l’indice mondial de la santé des femmes (GWHI), une étude sans précédent sur l’état de santé des femmes dans le monde, en recueillant directement le ressenti de plus de 120 000 personnes réparties sur 116 territoires, dans 140 langues. Avec plus de 36 millions de données, elle documente l’état de santé des femmes et constitue une ressource qui nous permet de suivre les progrès réalisés au fil du temps, pour chaque pays².

Identifier les domaines de changement prioritaires

Pour aider les pays et les territoires à élaborer des stratégies qui privilégient un avenir meilleur pour tous, l’indice a identifié cinq dimensions liées à la santé des femmes, qui représentent à elles seules plus de 80 % de la variation de l’espérance de vie des femmes : les soins de prévention, la satisfaction des besoins fondamentaux, la santé mentale, la perception des femmes quant à leur santé et leur sécurité et la santé individuelle.

Les résultats ont fait apparaître un bien sombre tableau. Les scores les plus élevés sur l’indice correspondent à une vie potentiellement plus saine, plus sûre et plus longue pour les femmes. Et pourtant aucun pays n’a obtenu de score supérieur à 69 sur un total possible de 100, avec une moyenne de seulement 56 dans les États membres du G20.

La nécessité d’une amélioration significative est évidente. Il est essentiel de mieux comprendre la prévalence et les causes des problèmes de santé chez les femmes. Sans cela, les responsables de santé et les décideurs politiques ne seront pas en mesure de mettre en place et de financer les améliorations nécessaires pour répondre aux besoins et aux préoccupations des femmes et des jeunes filles.

C’est pourquoi les données et les informations telles que celles fournies par l’enquête GWHI sont si importantes. Elles peuvent contribuer à identifier les domaines d’améliorations prioritaires et aider à la mise en place de plans d’actions spécifiques, qu’il s’agisse de sensibiliser à la santé des femmes, de soutenir l’accès aux soins et au dépistage préventif ou de rendre les soins plus abordables financièrement.

Poser les bases pour trouver des solutions sur le long terme

L’indice GWHI offre une base de référence nécessaire pour suivre l’évolution de la santé et du bien-être socio-économique des femmes et des jeunes filles. Et ce n’est que le début d’un parcours important. Nous nous engageons à poursuivre la collecte de ces données essentielles sur plusieurs années afin de permettre aux dirigeants de mettre en œuvre des solutions indispensables et de poser les fondations nécessaires à la réalisation d’améliorations durables et mesurables pour la santé des femmes dans le monde entier.

À propos de l’indice mondial de la santé des femmes

Menée dans le cadre du Gallup World Poll, cette enquête sans précédent, conçue pour durer plusieurs années, constitue un examen approfondi des indicateurs critiques pour la santé des femmes, par pays et par territoire, dans le temps. Les questions de l’étude ont été mises au point et révisées par des conseillers experts internationaux en matière de santé des femmes, des représentants des institutions de premier plan et des leaders d’opinion comme l’université John Hopkins, l’université George Washington et l’ONG RAD-AID.